Alienor 1033 - Orient de Poitiers
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Le Rite Ecossais Ancien et Accepté

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Alienor
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Le Rite Ecossais Ancien et Accepté Vide
MessageSujet: Le Rite Ecossais Ancien et Accepté Le Rite Ecossais Ancien et Accepté EmptyMar 10 Fév - 23:40

Le Rite Ecossais Ancien et Accepté

Origines et Constitutions du Rite Écossais Ancien et Accepté

Les premières loges maçonniques ont été introduites en France dès la fin du XVIIème siècle. Á la suite de la Glorious Revolution de 1688 en Angleterre, le roi Jacques II Stuart se réfugia en France avec sa cour, et l’intérêt pour la tradition anglaise et écossaise se manifesta dans certaines sphères et naturellement au sein des loges.

La création de la Grande Loge de Londres en 1717 eut un grand retentissement sur la franc-maçonnerie française qui, a plusieurs reprises, prit comme Grands Maîtres des personnalités britanniques.

En 1738, la Grande Loge de France est créée. Elle ne renoncera à son appellation anglaise qu’en 1756.
Le développement des loges est alors considérable et nombre d’entre elles se réclament de l’écossisme.
Bordeaux, Marseille avec sa Mère Loge Écossaise de 1749, Toulouse, Rouen, Avignon, Metz deviennent des foyers d’une maçonnerie écossaise qui se structure peu à peu.

Le besoin d’aller symboliquement au-delà du troisième degré se fait sentir et les premiers Hauts Grades apparaissent vers 1740, alors qu’ils restent ignorés en Écosse.

En 1744, Étienne Morin fonde à Bordeaux la loge les Élus Parfaits, première des Mères Loges Écossaises pratiquant les degrés dits de perfection propres à compléter la maîtrise.

Il reçoit en 1761 patente de la Loge Saint Jean de Jérusalem et du Conseil des Empereurs d’Orient et d’Occident pour instaurer en Amérique un système de Hauts Grades.

Les Constitutions dites de Bordeaux de 1762 et les Grandes Constitutions de Berlin de 1786 codifient le Rite Écossais.

Ordo ab Chao en devient la devise.


Une démarche spirituelle
par Hubert Greven,
Souverain Grand Commandeur du Suprême Conseil de France

Le Rite Écossais Ancien et Accepté propose à ses adeptes une démarche initiatique traditionnelle qui, à travers une ascèse personnelle liée à une recherche collective, vise à construire l'homme en donnant un sens à sa vie. Cette démarche se fonde sur la spiritualité, indépendante de toute chapelle religieuse, rendue encore plus nécessaire de nos jours dans une société qui a perdu ses repères, en proie au matérialisme effréné et au mondialisme galopant.

À l'occasion du 200eme anniversaire de la création du Suprême Conseil de France, seul gardien et conservateur du Rite Écossais Ancien et accepté en France depuis 1804, et de la pratique continue du Rite, le Suprême Conseil et la Grande Loge de France organisent conjointement la présente exposition dans le cadre de l'Hôtel de la Grande Loge de France.
La démarche au sein du Rite Écossais Ancien et Accepté, transcendant les controverses idéologiques qui ont cours dans le monde profane, incite le Maçon écossais à donner toute la mesure de sa liberté de conscience et à oeuvrer au bonheur de l'humanité.

À travers une voie initiatique traditionnelle en trente-trois degrés, elle permet au Frère d'édifier sa vie intérieure vers toujours plus de spiritualité dans le cadre de la pratique du Rite. La dimensions spirituelle, destinée à surmonter la matérialité contingente, engage les adeptes à tourner leur regard vers la Lumière et à agir en toute connaissance de cause dans le monde.
L'éveil progressif, menant à la Connaissance, à l'Amour et à l'Action, se manifeste dans l'ici et le maintenant de leur vécu quotidien ainsi que dans leur engagement personnel et responsable dans la Cité.
En proposant un voyage au cœur de l'Écossisme, qui offre à nos contemporains l'aventure humaine la plus exaltante, les organisateurs donnent aux Francs-maçons écossais la possibilité de mieux apprécier leur histoire et espèrent susciter parmi le public profane le désir de connaître une institution qui, bien que deux fois centenaire, répond aux aspirations de nos contemporains grâce à son caractère atemporel qui lui a permis de traverser les vicissitudes de l'Histoire, en donnant à chacun la possibilité d'un perfectionnement individuel et l'espérance dans la perfectibilité de la condition humaine.
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MessageSujet: Re: Le Rite Ecossais Ancien et Accepté Le Rite Ecossais Ancien et Accepté EmptyJeu 12 Fév - 11:46

Histoire du REAA en France
Le Rite Ecossais Ancien et Accepté est apparu en France grâce au Frère Grasse-Tilly en 1804, alors qu'il revenait des « isles d'Amérique ». Il fonda le premier Suprême Conseil de France cette même année.

Un traité d'Union en Décembre 1804 est signé entre le Grand Orient de France et le Suprême Conseil du 33e degré en France. Il est dit que Le Grand Orient unit à lui le Suprême Conseil de France. L'accord fut dans les faits appliqué jusqu'en 1814. Grâce à ce traité, le Grand Orient de France s'appropria le Rite Ecossais Ancien et Accepté.

De 1805 à 1814 le Grand Orient de France administra les 18 premiers degrés du Rite, laissant au Suprême Conseil de France le soin d'administrer les 15 autres, du 19e au 33e. En 1815 cinq des dirigeants du Suprême Conseil fondèrent au Grand Orient de France le Suprême Conseil des Rites. Le premier Suprême Conseil en France tomba en sommeil de 1815 à 1821[18].

Le Suprême Conseil des Isles d'Amérique (fondé en 1802 par Grasse-Tilly, réveillé par Delahogue vers 1810) réveilla en 1821 le Suprême Conseil pour le 33e degré en France et ils fusionnèrent en une seule organisation : Le Suprême Conseil de France. Il s'érigea en puissance maçonnique indépendante et souveraine. Il créa des loges symboliques (celles qui sont composées des 3 premiers degrés et qui se fédèrent normalement au sein d'une Grande Loge ou d'un Grand Orient).

En 1894, le Suprême Conseil de France créa la Grande Loge de France dont l'autonomie devint une complète indépendance en 1904 lorsque le Suprême Conseil de France renonça à délivrer les patentes constitutives des nouvelles loges[19]. Le Suprême Conseil de France se considère cependant toujours comme gardien de la cohérence de l'ensemble des 33 degrés du Rite et les relations entre les deux structures restent étroites comme en témoignent les deux tenues communes qu'elles organisent chaque année.

En 1964, le Souverain Grand Commandeur Charles Riandey ainsi que 400 à 500 membres[20] de la Juridiction du Suprême Conseil quitta le Suprême Conseil de France et rejoignit la Grande Loge Nationale Française en estimant que, du fait de sa démission et bien que le Suprême Conseil de France ait continué à travailler sans lui, il n'existait plus de Suprême Conseil en France. Il se fit ensuite réinitier à Amsterdam aux 33 degrés du rite[21] puis fonda avec l'appui du Suprême Conseil de la Juridiction Sud des États-Unis un nouveau Suprême Conseil, dénommé « Suprême Conseil Pour la France » , seul à être reconnu par les Suprêmes Conseils des États-Unis après avoir été désigné au le Convent de Barranquilla (1970) comme seule autorité du Rite Ecossais pour la France par le plus vieux Suprême Conseil du Monde : Le Suprême Conseil de la Juridiction Sud des États-Unis.

La France se trouve ainsi l'un des rares pays où coexistent 3 Suprêmes Conseils légitimes :

Le Suprême Conseil de France (Issu du Suprême Conseil de 1804 puis réveillé en 1821 par le Suprême Conseil dit des « Isles d'Amérique » fondé en 1802 à Saint Domingue), souché sur la Grande Loge de France.
Le Suprême Conseil pour le Rite Ecossais Ancien et Accepté en France (Issu du Suprême Conseil de 1804, constitué en 1815), souché sur le Grand Orient de France.
Le Suprême Conseil pour la France (Issu du Suprême Conseil des Pays Bas, constitué en 1965), souché sur la Grande Loge Nationale Française.

Organisation
Le Rite écossais ancien et accepté est dirigé dans chaque pays pas un Suprême Conseil (en théorie, il ne devrait y en avoir qu'un seul par pays ce qui dans les faits n'est pas le cas. Ainsi, aux États-Unis il existe plusieurs Suprêmes Conseils reconnus dans la sphère anglo-saxonne). Il n'existe théoriquement pas de gouvernement mondial du REAA, chaque Suprême Conseil étant souverain dans sa juridiction. Cependant, certains Suprêmes Conseils ont une influence politique plus lourde que d'autres.

En Europe, onze obédiences pratiquant les trois premiers degrés du Rite écossais ancien et accepté se sont associées au sein de la Confédération des grandes loges unies d'Europe.

Les 33 degrés du REAA
Il n'existe pas en franc-maçonnerie de rang supérieur au troisième degré, celui de maître maçon. C'est un des principes fondamentaux de la « régularité maçonnique » que tous les maîtres maçons soient placés sur un pied d'égalité, sans considération de position sociale ou d'appartenance à d'autres degrés maçonniques. C'est pourquoi les degrés d'un numéro supérieur au troisième doivent être considérés comme des degrés d'instruction, ou de perfectionnement, et non pas comme des grades impliquant un pouvoir particulier et dont pourrait se prévaloir un maître maçon pour se prétendre supérieur aux autres.

Dans de nombreux pays, les trois premiers degrés peuvent être pratiqués à un autre rite que le REAA avant l'accès aux autres grades de celui-ci.


Degré n°TitreJur.Sud FranceBelgiqueAngleterreJur.Nord
ApprentiLoge symbolique
(dans certains pays,
ces degrés sont pratiqués à un autre rite)
Compagnon
Maître
Maître SecretLoge de PerfectionChapitreChapterLodge of Perfection
Maître Parfait
Secrétaire Intime
Prévôt et Juge
Intendant des Bâtiments
Maître Élu des Neuf
10°Illustre Élu des Quinze
11°Sublime Chevalier Élu
12°Grand Maître Architecte
13°Chevalier de Royal Arche
14°Grand Élu Parfait et Sublime maçon ou Grand Élu de la Voûte Sacrée
15°Chevalier d'Orient ou de l'ÉpéeChapitreCouncil
16°Prince de Jérusalem
17°Chevalier d'Orient et d'OccidentChapter
18°Souverain Prince Chevalier Rose Croix
19°Grand PontifeAréopage ou CouncilAréopageSupreme CouncilConsistory
20°Maître Ad Vitam
21°Chevalier Prussien
22°Prince du Liban
23°Chef du Tabernacle
24°Prince du Tabernacle
25°Chevalier du Serpent d'Airain
26°Prince de Mercy
27°Grand Commandeur du Temple
28°Chevalier du Soleil
29°Grand Ecossais de Saint-André d'Écosse
30°Chevalier Kadosh
31°Grand Inspecteur InquisiteurConsistoireConsistoire
32°Sublime Prince du Royal Secret
33°Souverain Grand Inspecteur GénéralConseil suprêmeConseil suprêmeSupreme Council


Exceptions, particularités, désaccords

L'indépendance des grades symboliques (1e-3e) et des hauts grades (4e-33e) n'a pas toujours été aussi clairement établie qu'à l'heure actuelle, notamment en France et en Belgique, lorsque les loges symboliques pratiquent le Rite écossais ancien et accepté dès le premier degré. De nos jours, les rituels de certains hauts grades mentionnent encore l'existence de « prérogatives »[22] datant de leur origine, donc antérieures à la constitution du Rite Ecossais Ancien et Accepté.
Le nom même du REAA a parfois légèrement varié, certains auteurs ainsi que la Juridiction Nord des Etats-Unis utilisant parfois l'expression "Ancient Accepted Scottish Rite" (sans le and), traduite en français par « Rite Ecossais Ancien Accepté » avec l'idée d'une « ancienne acceptation » du rite.
Dans de nombreuses juridictions, il existe également des particularités, généralement minimes, mais parfois plus importantes. Elles concernent principalement les degrés qui sont réellement pratiqués, les autres degrés sont transmis « par communication », suivant l'usage fréquent du XVIIIe siècle, c'est à dire sans que le rituel du degré ne soit réellement pratiqué.

En Angleterre
Le rite s'appelle généralement « Rite ancien et accepté » (sans l'adjectif « écossais »). On le pratique seulement au 18e degré. Le 30e est réservé aux anciens présidents de chapitres. Les degrés au delà du 30e ne sont conférés qu'à un très petit nombre de personnes.
Le Rite Ecossais Ancien et Accepté est toutefois pratiqué du 1e au 33e degré par le Droit Humain du Royaume-Uni[23] et du 1e degré au 3e degré par la loge "The White Swan, No 1348"[24] de la Grande Loge de France à Londres.
En Écosse, on pratique les 18e, 30e degrés. Au delà, on procède comme en Angleterre.
En France et en Belgique, suivant les juridictions, on pratique et on initie aux 4e, 9e, 12e, 13e, 14e, 17 e, 18e, 28e, 30e, 31e, 32e et 33e degrés. Dans certaines juridictions belges, on initie également aux 5e et 29e degrés.
Aux États-Unis, la juridiction nord a réformé ses pratiques de manière assez notable en 2004 et en 2006[25]: Le nom de 21 des 33 degrés, en particulier, a été changé[26]. Par ailleurs, le système nord-américain est beaucoup plus rapide que dans d'autres pays, puisqu'il permet d'atteindre le 32e degré en très peu d'années alors qu'en Europe et en Amérique du Sud une telle progression requiert une pratique assidue de plus d'une vingtaine d'années. Pour cette raison, plusieurs juridictions européennes et sud-américaines ne reconnaissent pas automatiquement les hauts grades reçus par leurs membres à l'occasion d'un séjour aux États-Unis.

Références et notes

  1. Note du traducteur: l'authenticité de cette origine est controversée.
  2. Jackson, A.C.F. (1980). "Rose Croix: A History of the Ancient & Accepted Rite for England and Wales" (rev. ed. 1987). London: Lewis Masonic.
  3. Coil, Henry W. (1961) Article: "Stuart Masonry," pp. 634–637; and Article: "Robison, John," pp. 569–570. Coil's Masonic Encyclopedia (rev. ed. 1996). Richmond, Va: Macoy Publ. Co. Inc.
  4. Archives Royales de Windsor, Stuart Papers, 491/123
  5. Les trois principaux prénoms de Jacques III Stuart sont Jacques Francis Edouard, après 1708 il est aussi appelé Chevalier de Saint-George
  6. Lettre publiée en fac-similé dans FAIRBAIRN SMITH, James, The Rise of the Écossais degrees, The Otterbein Press, Dayton, 1965, p. 36
  7. Coil, Henry W. (1961) Article: "Stuart Masonry," pp. 634–637. Coil's Masonic Encyclopedia (rev. ed. 1996). Richmond, Va: Macoy Publ. Co. Inc.
  8. Jackson, A.C.F. (1980). "Rose Croix: A History of the Ancient & Accepted Rite for England and Wales" (rev. ed. 1987) pp 31–45. London: Lewis Masonic.
  9. Jackson, A.C.F. (1980). "Rose Croix: A History of the Ancient & Accepted Rite for England and Wales" (rev. ed. 1987) pg. 37. London: Lewis Masonic.
  10. Fox, William L. (1997). Lodge of the Double-Headed Eagle: Two centuries of Scottish Rite Freemasonry in America's Southern Jurisdiction, pg. 16. Univ. of Arkansas Press.
  11. Jackson, A.C.F. (1980). "Rose Croix: A History of the Ancient & Accepted Rite for England and Wales" (rev. ed. 1987). London: Lewis Masonic.
  12. Fox, William L. (1997). "Lodge of the Double-Headed Eagle: Two centuries of Scottish Rite Freemasonry in America's Southern Jurisdiction," pg. 16. Univ. of Arkansas Press.
  13. Fox, William L. (1997). "Lodge of the Double-Headed Eagle: Two centuries of Scottish Rite Freemasonry in America's Southern Jurisdiction," pg. 16. Univ. of Arkansas Press.
  14. Fox, William L. (1997). "Lodge of the Double-Headed Eagle: Two centuries of Scottish Rite Freemasonry in America's Southern Jurisdiction," pg. 16–17. Univ. of Arkansas Press.
  15. Bedfordshire Freemasonry website: Rose Croix Masonry, accessed 05 Oct 06 [archive]
  16. Note de traducteur: Dans sa version du 30/01/2007, toute cette section de l'article n'est qu'une simple traduction de l'article du Wikipédia anglophone de la même date, d'où son aspect peut-être un peu américano-centré.
  17. Coil, Henry W. (1961). Article: "Pike, Albert" pp. 472–475. "Coil's Masonic Encyclopedia" (rev. ed. 1995) Richmond, Va: Macoy Publ. Co. Inc.
  18. La seule trace d'activité connue de ce Suprême Conseil sur cette période est une quittance de loyer - source CG.
  19. (Revue "Points de vue initiatiques" 1980, p. 17)
  20. (Daniel Ligou et al. 2000b, p. 185-188)
  21. (Riandey 1989, p. 169)
  22. Telle que celle de pouvoir prendre la parole sans la demander préalablement au président. Ou bien encore, rattaché au 20e degré, l'ancien titre de « Vénérable Grand Maître de toutes les loges régulières », témoignage de l'époque de sa rédaction.
  23. DH-Uk [archive]
  24. Blog Maçonnique Hiram [archive]
  25. The Northern Light Magazine, November 2006; p. 6 "Ritual Changes."
  26. Voir l'article de Wikipédia en langue anglaise.
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Liens :

EXPOSITION :
200 ans de Rite Ecossais Ancien et Accepté en France


La Grande Loge de France, Ordre initiatique, travaille aux trois premiers degrés du Rite Ecossais Ancien et Accepté, qui en compte 33. Ce rite, caractérisé par sa dimension spirituelle, est pratiqué par le plus grand nombre d'Obédiences dans le monde.

La Grande Loge de France a adopté comme texte de référence [les Constitutions d'Anderson->art31] et invoque, dans tous ses travaux, le Grand Architecte de l'Univers, expression symbolique du Principe Créateur, librement interprétable dans son for intérieur par chacun des membres de l'obédience.

Les Constitutions d'Anderson ont été établies en 1723 par le Pasteur anglais James Anderson, lequel y affirme que la Franc-Maçonnerie doit être le centre de l'Union, cette union d'hommes d'origines, de confessions, de conditions sociales et de cultures différentes qui, sans la Franc- Maçonnerie, ne se seraient jamais rencontrés et appréciés.

La Grande Loge de France n'impose aucune limite à la recherche de la Vérité et c'est pour garantir à tous cette liberté, qu'elle exige de tous la tolérance.
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